Sports d'hiver...
... à Avoriaz.
Cette fois-ci, Farès avait fermement décidé d'emmener ses vieux parents au ski.
Comme ça faisait quinze ans que nous n'étions pas remontés sur les lattes, nous appréhendions un peu ces vacances.
Caecil et Farès se sont relayés pour la conduite. Nous sommes arrivés à la station à deux heures et demie du matin. Dans la vallée, point de neige. Mais là-haut, je sens que nous allons être gâtés.
Le temps de trouver des luges pour transporter nos bagages et nous voilà en route pour notre hébergement.
L'appartement est très bien agencé. Il y a suffisamment de place pour ne pas nous marcher sur les pieds et une terrasse plein sud qui donne sur la place centrale.
Il fait un temps superbe. Il n'a asssurément pas neigé ces derniers jours mais il y a bien soixante à quatre-vingt centimètres de neige sur les toits.
J'admire les sommets qui nous entourent, je regarde des skieurs accrochés au tire-fesse, d'autres qui dévalent les pistes.
Et je me rends compte que la neige m'a manqué pendant toutes ces années.
Mais ne perdons pas de temps, profitons du soleil...
Comme nous allions toujours skier en Autriche, nous avions l'habitude de villages typiquement montagnards.
Mais nous sommes agréablement surpris par l'architecture moderne de cette station. Des immeubles dont les façades sont entièrement recouvertes de bois, mais aussi d'adorables chalets de formes très contemporaines....
on accède aux divers immeubles par de nombreux passages et ascenseurs...
les télésièges se faufilent indiscrètement devant les fenêtres des vacanciers...
J'émerge à peine de dessous mes couvertures que les garçons ont déjà cherché des baguettes de pain toutes fraiches et fait passer le café.
Mais il n'est pas question pour eux de perdre du temps.
Une dernière couche de crème hydratante...
... quelques bonbons et une poignée d'abricots secs dans la poche...
Et ils sont fin prêts pour dévaler les pentes.
Un dernier signe de la main et on se donne rendez-vous ce soir pour l'apéritif car Caecil a fait le plein de spécialités savoyardes.
Jusque tard dans la nuit, on entend tinter les grelots des chevaux tirant les traineaux
La nuit tombe tout doucement...
La fatigue a raison de Farès et Caecil ...
Avoriaz offre une petite fête aux vacanciers...