Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Une vie, des passions et ma famille...
Une vie, des passions et ma famille...
Publicité
Archives
4 novembre 2008

Générique...

Il y a générique et générique.

Le premier, c'est le médicament vendu moins cher et de son plein gré par mon pharmacien préféré (moins cher ?... pas si sûr...), mais là n'est pas le sujet de mon propos.

L'autre générique, celui dont je vais vous entretenir, c'est celui qui défile après votre film préféré.

Comme vous sans doute, je vais de temps en temps au ciné parce qu'on y passe enfin le film dont on me rabâche les oreilles depuis des semaines et que je me fais une joie d'aller voir.
Et une fois sur deux, j'en sors déçue.
Tant pis pour moi... Ca m'apprendra à me fier aux critiques de pacotille qui déballent leur baratin à la télé.

Mais il arrive aussi que je sois très contente de ma séance.
Tellement contente qu'à la fin du film, je reste sagement assise pour voir défiler le générique.
Parce que ça m'intéresse de savoir qui a si bien joué ce tout petit rôle de rien du tout.
Parce que je veux connaître le chouette village et sa belle église où a eu lieu le tournage.
Et surtout parce que je veux savoir qui a composé la superbe musique entendue dans le film.

Et là, je me permets de faire une supplique à tous les directeurs de salles :  Pouvez-vous, s'il vous plaît, ne pas allumer les lumières avant la fin du générique ?
Car, dès la fin du film (tiens, il faut que je vérifie s'il y a encore le mot "FIN") * , il y a systématiquement un crétin dans la rangée de devant qui se lève, qui enfile tranquillement son manteau, qui noue nonchalamment son écharpe pendant que moi, je m'énerve, j'enrage, je râle, je proteste et je me tords le cou pour essayer de voir des bribes du générique.

Mais le pompon revient à certaines chaînes de télévision.
Après la diffusion du film, il existe deux alternatives :
Ou ça défile à une vitesse folle et il est impossible de lire la moindre information.
Ou le générique défile correctement, les caractères sont clairs, on reconnait les noms des comédiens, on découvre les noms du coiffeur, du maquilleur, de la doublure, du cascadeur, de la costumière, des perchistes, des électriciens, des chauffeurs, de la cantinière, bref, la liste est longue..., mais quand, à la suite, apparait le nom du compositeur de la BO ou la liste des chansons et extraits de musique classique, c'est subitement écrit en tous petits caractères et totalement illisibles.

Et ça, ça m'énerve !...

A quand une mobilisation pour la sauvegarde des génériques à la télévision ?

(*) Disparition du mot "FIN"

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité